Soriel, dans ses vêtements poussiéreux, marche dans le chemin de traverse. Il cherche un endroit pour étendre le tapis Persant qu'il a trouvé en Afrique et y vendre ses obgets rares et étragés, ainsi qu'une petite agance tous-risques pour les voyageurs qui veullent approfondir leur connaissances magiques. Lorsqu'il a assé d'or, il cherche la boutique de Olivander, pour remplacer sa vieille baguette qu'il avait sculpté dans du bois de mer, qui fut peut-être du chêne, et dont le coeur était le cheveux d"une amie driade. Lorsqu'il trouve la boutique, il entre malgré le balluchon encombrant et le tapis persan.